Ledesign du Fusion 15 est à la fois sobre et efficace, compact et léger. XMG a bel et bien réussi le tour de force de proposer un portable gaming 15 pouces de seulement 1,9 kg et 2 cm d AppareilOptique Qui « Fait Le Tour Des Choses » Solution. Réponses mises à jour et vérifiées pour le niveau CodyCross Inventions Groupe 42 JeanA. Gili. Les débuts du spectacle cinématographique en France. Bilan provisoire. L'Association Française de Recherche sur l'His¬ toire du Cinéma a lancé dès sa fondation en 1 984 une enquête sur «Le cinéma des origines » et plus précisément sur les débuts du spectacle cinéma¬ tographique en France de 1895 à 1914. AppareilOptique Fait Le Tour Des Choses D’autres jouets d’optique sont à signaler comme le phénakistiscope de Joseph Level et le praxinoscope d’Émile Reynaud. The mégalétoscope Certainsniveaux sont difficiles, nous avons donc décidé de faire ce guide, qui peut vous aider avec CodyCross Appareil optique qui « fait le tour des choses » réponses si vous ne Dịch Vụ Hỗ Trợ Vay Tiền Nhanh 1s. Caractéristiques Fujifilm n'est pas à son coup d'essai dans le segment du compact expert équipé d'un grand capteur. Tout le monde se souvient du X100 présenté en grande pompe à la photokina 2010 et des déclinaisons X10, X20, X30 avec des capteurs 2/3".Contrairement à la plupart de ses concurrents le Sony RX100 Mark IV, le Canon G7 X Mark II ou les récents Nikon DL, Fujifilm n'a pas fait le choix d'un capteur 1" mais a développé un compact expert à capteur APS-C. Les X10/20/30 auront-ils un successeur ? Difficile de se prononcer, mais le Fujifilm X70 ressemble plus à X100 dépourvu de son système de viseur hybride si X70 reprend l'essentiel des caractéristiques du X-E2S un capteur APS-C X-Trans CMOS II de 16,3 Mpx et un processeur EXR II, un nouveau système autofocus hybride à 100 000 px de détection de phase doté des modes "Zone AF" et "Wide/Tracking AF" sur 77 points, un mode macro auto, un stigmomètre numérique, la fonction focus peaking, des modes de simulation de film et une connexion du Fujifilm X70 s'oriente jusqu'à 45° vers le bas et 180° vers le ce nouveau boîtier, Fujifilm a fait le choix d'une focale 28 mm la même que celle du Ricoh GR II ou du Nikon Coolpix A ; une focale plus complexe à utiliser que le plus classique 35 mm, que la marque semble réserver à la série X100. L'optique est également moins lumineuse f/2,8 contre f/ et prixLe Fujifilm X70 a été lancé au mois de février 2016 au prix public conseillé de 799 €.Notre premier avisLe X70 a donc une position un peu "bancale" ll ne dispose pas d'un zoom optique manuel qui fait l'intérêt des X10/20/30 et n'a pas la visée intégrée d'un X100. Il devra donc compter sur d'autres atouts pour séduire. À commencer par son ergonomie "photo" avec une bague de diaphragme et une molette de vitesse. L'écran tactile et inclinable est également un élément aussi Prise en main GabaritLe Fujifilm X70 est un boîtier plutôt compact qui se paie le luxe d'être presque plus petit que le X30 pourtant équipé d'un capteur 2/3", mais il est vrai aussi d'un zoom optique et d'un viseur X70 est peu ou prou du même gabarit que le Panasonic LX100 qui fonctionne avec un capteur 4/3" plus petit donc, mais dispose d'un viseur électronique et d'un zoom X70 est en revanche plus grand que le Sony RX100 Mark IV qui, lui aussi, dispose d'un zoom optique, d'un viseur électronique et d'un écran orientable. Toutefois, le capteur 1" du compact Sony est également largement plus petit que le format APS-C du X-Trans d'écran issue du site Camerasize. Crédits CamerasizeErgonomieLa prise en main du Fujifilm X70 est rassurante. Le boîtier est bien construit et la finition est de bon aloi pour un compact à 800 € châssis en alliage de magnésium, molette en aluminium, souplesse dans les il est dommage que Fujifilm n'ait pas opté pour une finition à l'épreuve des intempéries. En outre, malgré cette sensation de robustesse, le boîtier présentait quelques traces après quelques jours de rangement dans un sac. L'écran, lui, semble bien résister. Le Fujifilm X70, un boîtier expert très compact pour un APS-C. Le changement du mode de mise au point se fait à l'avant du boîtier M, C et S.Le X70 dispose d'une petite poignée bien pratique pour une prise en main ligne est assez sobre et devrait correspondre à ce que recherchent bon nombre de photographes un accès à l'essentiel. Vous trouverez une bague de diaphragme autour de l'optique et une molette pour les temps de pose. Le principal est donc nous avons noté quelques défauts. Ainsi, la bague de diaph' n'est pas, contrairement à l'apparence, très facile d'accès. Il y a bien deux ergots pour faciliter les mouvements, mais la bague est petite et toutes les mains ne seront pas à l'aise. La bague de mise au point qui peut être personnalisée est encore plus délicate à saisir. Le barillet pour le temps de pose, lui, se bloque sur A impossible donc de faire le tour rapidement pour atteindre des temps de pose de 1/4 s, par le dessus du boîtier, la commande de mise sous tension au niveau de déclencheur se manipule aisément. Vous remarquerez le levier Auto, qui agit comme une sorte de touche verte ou "anti-panique" et bascule l'appareil en mode... Auto. La touche Drive est assez petite, tout comme la commande rouge pour la vidéo qui est trop proche du correcteur d'exposition à peine affleurante, elle est au final difficile d' de l'appareil est plutôt sobre avec un classique trèfle de sélection et 4 commandes. La flèche gauche est placée un peu trop proche de l'écran pour être facilement manipulable. La touche Q permet d'accéder rapidement aux principales options de prise de vue et le basculeur, de modifier les valeurs de ces options. Deux commandes sont positionnées sur l'écran basculeur cliquable est disponible pour effectuer certains LCDEn l'absence de viseur, il faudra se contenter de la visée sur écran LCD. Attention, le tactile ne fonctionne qu'en mode prise de vue choix de la zone AF, déclenchement et il sera impossible de jouer des doigts pour naviguer dans les menus. Dommage, car choisir directement l'option à modifier dans le menu Q aurait été un vrai écran inclinable et tactile une première chez LCD est monté sur une double charnière qui permet une inclinaison de 45° vers le bas et plus de 180° vers le haut pour un mode regrettons que Fujifilm n'ait pas opté pour un écran sur charnière, pour une orientation plus large et une meilleure X70 est équipé d'une focale fixe 28 mm f/2,8. Il ne vient donc pas empiéter sur les 35 mm du X100 et vient directement se frotter aux autres compacts experts APS-C que sont le Ricoh GR / GR II et le Nikon Coolpix optique 28 mm est fabriquée à partir de 7 éléments optiques répartis en 5 groupes, intègre 2 lentilles asphériques et profite d'un traitement antireflet HT-EBC Fujinon. Malheureusement, elle est dénuée de stabilisation MémoireCôté mémoire, le X70 n'a qu'un seul emplacement accessible par la semelle du boîtier. Il est compatible SD/SDHC/SDHC et répond à la norme et carte mémoire sont accessibles par la semelle du X70 utilise une batterie Li-Ion NP-95 de 6,2 qui permet de déclencher environ 200 fois. Nous sommes assez loin des 300 vues annoncées par la norme CIPA. Bon point, il est possible de recharger l'appareil par le port micro-USB. Le boîtier est toutefois livré avec un chargeur de X70 dispose d'une connexion micro-USB pour transférer les données et recharger les batteries, ainsi que d'une sortie micro-HDMI type D non compressée. Vous trouverez également une entrée micro stéréo qui fera également office de télécommande filaire, mais toujours pas de sortie casque pour le contrôle de la qualité de la captation boîtier offre de plus une griffe porte-accessoire Multi-Interface permettant de connecter des micros XLR et différents accessoires. Il propose également une connexion Wi-Fi / NFC voir ci-après.Tout est là ou presque micro-USB, HDMI, entrée micro... mais pas de sortie au point et réactivitéAutofocusLe X70 bénéficie des derniers raffinements technologiques liés au capteur APS-C X-Trans II. Vous retrouverez donc le module autofocus hybride à détection de contraste et corrélation de phase sur 100 000 points. Il dispose également des modes Zone AF et Wide/Tracking AF sur 77 points comme ses compèrs X-T10 et X-T1. Vous disposez naturellement de la détection de visage. Notez que le X70 bascule automatiquement en mode macro lorsque le sujet est que la zone centrale à corrélation de phase fonctionne surtout pour le suivi de sujet et la mise au point en bonne lumière. Quand la lumière vient à manquer, c'est le système à détection de contraste qui prend le au point manuelleEn mode manuel, la mise au point se montre facile à mettre en œuvre le boîtier propose une loupe de grossissement ou un focus peaking ou... les deux. Vous pouvez également opter pour le stigmomètre électronique stigmomètre numérique ou "Digital Split Image", une spécificité de Fujifilm. La zone centrale est alors divisée en plusieurs segments qu'il faut faire correspondre pour avoir la X70 n'est pas le boîtier le plus réactif du moment, mais il se comporte correctement dans la plupart des situations lumineuses. ll patine un peu trop en basse lumière et la mise sous tension est un peu trop lente ; la latence au déclenchement est par contre très au déclenchementLe X70 dispose d'un obturateur mécanique sans l'optique obturateur central qui grimpe jusqu'au 1/4 000 s. Ce type d'obturateur est assez silencieux et vous pourrez photographier en toute discrétion. Au-delà, c'est un obturateur électronique qui prend le relais jusqu'à 1/32 000 s. Là encore, le déclenchement est totalement silencieux. Bref, c'est du tout X70 est livré avec le logiciel Silkypix "assaisonné à la sauce" Fujifilm. C'est pour l'instant le seul logiciel à pouvoir traiter les fichiers bruts du boîtier. Il faut bien avouer que le X-Trans CMOS III est un excellent capteur, mais sa technologie particulière pas de matrice de Bayer freine les développements par des compagnies les fichiers du X70 seront rapidement pris en charge lors des mises à jour des logiciels voir notre Courrier lecteur "La meilleure solution de traitement pour les RAW Fujifilm".Les choses évoluent et les principaux acteurs du marché, hormis DxO Optics Pro, savent désormais traiter les fichiers RAW X-Trans, mais les mises à jour sont généralement plus lentes. Dans un premier temps, il faudra donc se contenter de Silkypix. Si l'interface est assez austère, le logiciel permet de profiter pleinement du potentiel des que les fichiers JPEG du X70 et c'est valable pour tous les boîtiers X-Trans sont d'une remarquable qualité et qu'il est parfois difficile d'atteindre le même niveau de traitement du bruit électronique ou de rendu des détails avec le logiciel. Le logiciel Silkypix Raw File Converter 2 livré avec le sans filLe Fujifilm X70 est équipé d'une puce Wi-Fi qui permet de piloter le boîtier à distance, géolocaliser les clichés et les récupérer sur son smartphone pour les transférer sur Internet et les réseaux sociaux. L'application de Fujifilm, Camera App, s'avère plutôt bien réalisée, facile à prendre en main et assez complète. Pas de mot de passe à saisir une fois connecté à l'appareil photo il faut valider sur l'appareil photo l'envoi des images par le prise de vue à distance, vous pouvez accéder au menu de prise de vues pour modifier certains paramètres comme la sensibilité, le temps de pose ou l' aussi Précision, colorimétrie Le Fujifilm X70 est équipé d'une focale fixe 28 mm f/2,8. Comme sur les autres modèles comparables Nikon Coolpix A et Ricoh GR / GR II, cette optique n'est malheureusement pas stabilisée. La distance minimale de mise au point est de 10 cm et son diaphragme dispose de 9 notion de piqué est assez délicate à traiter. C'est ce que l'on peut assimiler à la "sensation de netteté" et/ou à la "précision" que l'on observe sur une image. Elle peut être très différente d'un objectif à un autre, d'une focale à une autre et d'une ouverture à une autre. Elle peut aussi varier entre le centre et les bords de l'image. On a coutume de dire que le piqué est optimal au centre et aux ouvertures moyennes f/5,6 ou f/8 par plus, le piqué va dépendre de la définition du capteur de votre appareil ici le X70 et son capteur 16,3 Mpx et la taille de son capteur 23,6 x 15,6 mm pour le X70. Plus les pixels sont petits, plus le système montrera ses limites à cause de la diffraction. Ce phénomène s'amplifie à mesure que l'on ferme le diaphragme de l' X70 a une définition de 4896 x 3264 px. Chaque pixel mesure donc 4,8 micromètres de côté. L'ouverture minimale conseillée pour éviter les problèmes de diffraction est donc de f/14, ce qui est très mesures Imatest montrent une optique de très bonne facture. Le piqué est très bon au centre dès la pleine ouverture f/2,8 pour atteindre son meilleur à f/5,6. La précision s'érode avec la fermeture du diaphragme et atteint son niveau le plus bas à f/ périphérie est correcte mais, de manière assez étonnante, la qualité se dégrade au-delà de f/4 et diminue jusqu'à f/ scène test confirme les tests sur mire. Le centre est déjà très bon à f/2,8 et s'améliore à f/5,6. Il reste excellent à f/8 et f/11 pour perdre un peu en micro-contraste à f/16. Fujifilm X70 évolution du piqué au centre de l'image en fonction de l'ouverture 28 mm.C'est un peu "mou" en bordure à f/2,8, mais il suffit de fermer d'un cran f/4, pour retrouver un bon niveau de piqué. Au-delà, l'image est de nouveau moins tonique. Fujifilm X70 évolution du piqué en bordure de l'image en fonction de l'ouverture 28 mm.Voir aussi Gestion du bruit électronique Pour notre test, la scène est éclairée sous environ 250 lux. Notre appareil étalon est le Canon 5D Mark III qui, pour un gris neutre 18 %, requiert le couple f/5,6 - 1/8 s à une sensibilité de 200 ISO. Le Fujifilm X70 est également calé pour exposer correctement un gris 18 % avec une sensibilité de 200 ISO et une ouverture de f/5,6. Il faut un temps de pose de 1/6 s à 200 ISO à f/5, faisons alors varier la vitesse et la sensibilité ISO. Les images sont visibles à 100 % JPEG et vous pouvez télécharger les fichiers bruts .RAF. Le boîtier est configuré par défaut, notamment pour ce qui est de rédaction du bruit JPEGSur le X70, Fujifilm a reconduit l'excellent capteur APS-C X-Trans II de 16 Mpx qui équipe déjà le modèle amiral de la gamme, le X-T1 présenté il y a plus d'un an. Globalement, la gestion du bruit électronique du X70 devrait être assez proche de celle du plage ISO s'étend de 100 à 51 200 ISO, mais attention, uniquement en JPEG. En mode RAW, le X70 est "limité" entre 200 et 6 400 ISO, comme les autres boîtiers équipés d'un X-Trans des tailles agrandies 4x de différents de surprise avec le X70 les JPEG sont impressionnants entre 100 et 400 ISO. Pas le moindre grain. Il faut monter à 800 ISO pour voir un subtil moutonnement attention, il faut observer les images à 100 % sur écran et avoir l'œil attentif. À 1 600 et 3 200 ISO, les images restent impressionnantes avec beaucoup de détails et une bonne tenue des couleurs. Elles sont parfaitement exploitables, ce qui est déjà en soi une belle performance pour un capteur APS-C de 2013 !Les détails commencent à être lissés à partir de 6 400 ISO et la granulation devient bien visible ; c'est d'ailleurs à cette sensibilité que l'appareil ne permet plus de photographier en sensibilités supérieures ne sont que des extrapolations logicielles, de même que la sensibilité 100 ISO, puisque cette valeur n'est pas accessible en RAW. Selon les conditions de lumière, des marbrures violettes peu esthétiques peut être pourrez monter à 12 800 ISO sur des scènes pas trop compliquées au niveau de la lumière. Au-delà, c'est plus complexe et il faudra se restreindre à des petits à tirage équivalentNous comparons naturellement les boîtiers à "tirage équivalent". Nous avons "normalisé" les images pour un tirage 40 x 60 cm en 180 dpi, soit une définition de 12 Mpx environ. Les images sont réalisées à 3 200 ISO avec ci-dessous des détails à 100 %.Attention, les boîtiers ne sont pas équipés d'optiques équivalentes, le piqué initial n'est donc pas le même. Il faut essayer de comparer uniquement le niveau de bruit électronique... Pas si avons choisi de confronter le X70 à quelques boîtiers emblématiques actuels qui proposent des capteurs différents en taille et en définition le Sony RX100 Mark IV 1" 20 Mpx ; le Panasonic LX100 4/3" 16 Mpx ; le Ricoh GR APS-C 16 Mpx. Là encore, c'est sans réelle surprise que le X70 surclasse les concurrents sélectionnés. L'image du GR se hisse à la 2e position avec un rendu détaillé, mais très granuleux. Le Panasonic LX100 délivre une photo de qualité, mais au lissage est très prononcé. Le Sony RX100 Mark IV ferme la marche. La logique voulant que plus le capteur est grand, plus la gestion du bruit est fine se vérifie une fois de plus. Sony RX100 Mark IV - 3 200 ISO Fujifilm X70 - 3 200 ISO Panasonic LX100 - 3 200 ISO Ricoh GR - 3 200 ISO OscilloscopePassons certaines images obtenues avec le X70 sous l'œil de l'oscilloscope pour un avis plus "mathématique".Notre outil confirme notre perception visuelle les images sont vraiment excellentes jusqu'à 1 600 ISO et présentent une dégradation perceptible à 6 400 ISO et au-delà. La dynamique baisse sensiblement et la granulation dans les zones denses est très visible. Fujifilm X70 – 200 ISO Fujifilm X70 – 1 600 ISO Fujifilm X70 – 6 400 ISO Fujifilm X70 – 12 800 ISO Voir aussi Exposition, RAW Latitude d'expositionPour vérifier la latitude d'exposition d'un point de vue "artistique", nous avons photographié notre scène test sur une plage de +/-5 IL et corrigé les fichiers bruts avec le logiciel RawTherapee qui a l'avantage d'ouvrir un grand nombre de fichiers bruts et notamment ceux des derniers boîtiers qui ne sont généralement pas pris en charge par les logiciels dits "classiques" comme Adobe Lightroom ou PhaseOne les informations de rendus n'étant pas prises en compte avec RawTherapee pour les boîtiers trop récents, les images paraissent par défaut un peu les images sous-exposées avec le Fujifilm X70, il est facile de remonter une variation de 3 IL. À -4 IL, le bruit électronique est déjà bien visible et surtout assez coloré. C'est ici la limite du côté de la surexposition, RawTherapee opère un assez bon recouvrement d'information. Jusqu'à +2 IL aucun problème. Toutes les infos dans les hautes lumières sont là. Mais 1/3 d'IL plus loin, c'est peine perdue les informations final, la latitude d'exposition s'étend de -3 à + 2 IL soit une plage de 7 IL, ce qui est très bon pour un capteur aussi Mode vidéo Le X70 de Fujifilm dispose d'une touche dédiée à l'enregistrement vidéo. Située juste à côté du déclencheur photo, elle permet de lancer la captation boîtier enregistre les vidéos dans un fichier .MOV avec une compression – HDTV 1080 à 60 i/s 59,94 i/s exactement, 35 Mbits/s, 8 bits, 420 Profil High une seule image de référence, pas de prise en charge CABAC. 10 secondes de vidéo font un peu moins de 50 Mo.– HDTV 1080 à 30 i/s 29,97 i/s exactement, 35 Mbits/s, 8 bits, 420 Profil High une seule image de référence, pas de prise en charge CABAC.– HDTV 720 à 60 i/s 59,94 i/s exactement, 18 Mbits/s, 8 bits, 420 Profil High une seule image de référence, pas de prise en charge CABAC. 10 secondes de vidéo font environ 20 Mo.– HDTV 720 à 30 i/s 29,97 i/s exactement, 18 Mbits/s, 8 bits, 420 Profil High une seule image de référence, pas de prise en charge CABAC.Tous les enregistrements vidéo sont donc à la norme NTSC et il n'est pas possible d'enregistrer à des cadences de 50, 25 et 24 temps d'enregistrement maximal est de 30 minutes par mode ISO Auto, vous ne pouvez pas faire varier l'ouverture ou la cadence d'obturation pendant le filmage. Par contre, il est possible de modifier l'exposition avec le correcteur. En mode ISO classique, vous pouvez intervenir sur l'ouverture du diaphragme manuellement, mais pas sur la est possible de brancher un micro externe pour une meilleure qualité ou une meilleure directivité du son mini-jack 2,5 mm. Toutefois, il est regrettable que Fujifilm ait omis de placer une sortie casque qui aurait permis de vérifier la qualité et le niveau il est possible d'utiliser la simulation de film pour enregistrer avec différents rendus colorimétriques dont le noir & blanc. Les filtres artistiques ne sont pas accessibles en résultats en vidéo sont assez décevants. En 60p, l'image n'est vraiment pas belle et comporte de nombreux artéfacts colorés. C'est vraiment indigne d'un appareil à 800 €. Ce mode est donc à les images s'améliorent notablement lorsque vous passez en mode 25p. Toutefois, le X70 reste assez loin des standards les lignes de précision, le X70 s'en sort plutôt bien et la séparation des lignes et même meilleure qu'avec d'autres boîtiers, mais les artéfacts sont encore très nombreux. L'image délivrée par le Panasonic LX100 est plus douce et plus agréable à l' et mise au pointEn mode 60p, la mise au point continue n'est pas très rapide et l'effet de "pompage" est très perceptible, même en l'absence de sujets en mouvement. En mode 25p, l'effet de pompage semble moins sensible. Voir aussi Verdict Au final, que penser du Fujifilm X70 ? Les premiers contacts n'ont pas été complètement satisfaisants, il faut bien l'avouer. Si le boîtier est vraiment bien construit avec son châssis en métal et ses commandes sans jeu, je me suis senti un peu à l'étroit avec ce boîtier. Bague de mise au point est personnalisable mais difficile d'accès, bague de diaph, malaisée à appréhender même si on se félicite de sa présence, commande vidéo positionnée trop près du correcteur d'exposition, flèche gauche du trèfle de sélection placée trop près de l'écran, touches petites... Bref, les débuts furent délicats entre le X70 et le temps, certains des défauts ont tendance à s'estomper, d'autres se font au contraire plus présents. Ainsi, l'absence de viseur intégré est un vrai manque. À chaque fois que je prends l'appareil, je le porte "machinalement" à l'œil avant de tendre le bras. L'écran inclinable est également assez imposant et aurait une rotule, bien plus pratique à mon sens. Toutefois, cette première tentative d'écran tactile chez Fujifilm est à clichés eux, sont excellents. Le capteur APS-C X-Trans II fait encore des merveilles malgré son âge "avancé". La très bonne gestion du bruit électronique permet de grimper jusqu'à 3 200 ISO sans la moindre hésitation. Nous regrettons l'absence de stabilisation mécanique ou optique, qui aurait pu rendre le boîtier encore plus polyvalent et plus à l'aise dans des conditions de lumière difficile. La stabilisation aurait également été un plus pour le mode vidéo. L'optique, équivalente à un 28 mm en 24x36, est de bonne facture, avec un bon piqué dès la pleine ouverture et elle atteint son apogée à f/5,6. Le mode macro à 10 cm donne également de bons réactivité, le X70 se situe dans la bonne moyenne. En pleine lumière, le système hybride à corrélation de phase et détection de contraste est prompt. Avec une lumière tamisée, le compact expert est moins à son aise. Notez qu'en mise au point manuelle, la distance de mise au point est conservée. Pas mal pour une utilisation en mode vidéo n'est clairement pas le point fort du X70. En mode 60p, l'image est inutilisable et il faudra basculer en 25p pour avoir des images exploitables. L'autofocus continu fonctionne, mais de manière final, le Fujiflm X70 s'avère un compagnon précieux pour le photographe qui souhaite voyager léger. Si les Ricoh GR et GR II sont plus agréables à utiliser en "bloc-notes", le compact expert de Fujifilm saura séduire avec sa bague de diaph et sa molette de vitesse, ainsi que la bague de mise au point manuelle. Le X70 est également devant ses principaux concurrents sur la qualité d'image avec un très bon combo gestion des hautes sensibilités ISO / optique de qualité. Il reçoit donc un à la concurrenceRicoh GR / GR IINous n'avons pas testé le Ricoh GR II qui n'est qu'un copier/coller du GR avec une puce Wi-Fi intégrée. Pour le reste, ils sont en tous points Ricoh GR II est équipé d'un capteur APS-C de 16 Mpx et d'une focale fixe 28 mm f/2,8. Comme le X70 de Fujifilm, il n'est pas stabilisé, mais lui intègre un flash X70 a pour lui un écran LCD inclinable et tactile efficace. Son capteur X-Trans II se révèle plus performant pour la gestion du bruit électronique et rend aussi l'autofocus plus réactif avec son système hybride à corrélation de phase et détection de contraste. La rafale à 8 ips surclasse largement les 4 ips du Ricoh GR II. Vous apprécierez également l'obturation électronique jusqu'à 1/32 000 s pour profiter de l'ouverture f/2,8 en plein soleil. Panasonic LX100Prix de lancement 799 € reBuy 352,99 reBuy 414,99 Top Achat 898,90 Fonctionnement du tableau de prix Panasonic LX100Fin 2014, Panasonic présentait une "petite bombe" photographique le LX100. Ce compact expert équipé d'un capteur 4/3" de 16 Mpx et d'un zoom optique lumineux 24-75 mm f/1,7-2,8 est également équipé d'un viseur électronique. Il bénéficie d'un autofocus à détection de contraste rapide et d'un mode vidéo 4K. Pas de flash intégré, mais un modèle amovible est livré dans la boîte. Le mode rafale est capable de monter jusqu'à 11 ips. Comme le X70, le LX100 est doté d'une bague de diaphragme et d'une molette pour le temps de son côté, le X70 dispose d'un écran LCD inclinable et tactile bien pratique. Le capteur APS-C X-Trans II est un bon cran au-dessus pour la gestion du bruit électronique et la latitude d' aussi Points forts Déclenchement silencieux Très bonne gestion du bruit électronique jusqu'à 6 400 ISO Optique de qualité dès la pleine ouverture Écran LCD inclinable et tactile enfin ! Recharge par micro-USB Assistance pour la mise au point manuelle focus peaking, zoom et stigmomètre électronique Bonne latitude d'exposition 7 IL Connexion Wi-Fi pour un partage rapide des clichés sur Internet Focale 28 mm taillée pour le paysage Format 16/9 et carré en plus du 3/2 Simulations de films sympathiques Points faibles Pas de stabilisation optique ou mécanique Bague de mise au point et de diaphragme trop étroite Pas de viseur électronique ou optique en standard. Le modèle optique en option est à 199 €. Commandes et touches trop petites et parfois difficiles à manipuler Trèfle de sélection mal placé la flèche gauche touche l'écran Écran LCD seulement inclinable il aurait pu être orientable Pas de finition à l'épreuve des intempéries Mode vidéo décevant Luminosité de l'optique assez banale Mode macro à 10 cm seulement La focale 28 mm pourra paraître trop large pour certaines utilisations portrait Format RAW .RAF propriétaire Conclusion Comment fonctionne la notation ? Voir toute la catégorie Pro Publié le 05/01/18 à 14h00 11 Dans l'univers de l'informatique, il est courant d'encourager les gens qui veulent développer leur savoir-faire à monter leur propre ordinateur à partir de pièces détachées et d'y installer eux-mêmes le système d'exploitation – les plus engagés recommandent bien évidemment GNU/Linux ! Or, dans le secteur de la photographie, la proportion d'articles invitant à la bidouille est très largement inférieure à ce qu'elle est dans celui des geeks. Mais nous sommes là pour y remédier. Suivez-nous ! L'art du bricolageL'écart entre la photo et l'informatique s'explique finalement assez facilement. Disponibilité des pièces détachées, complexité des composants, ajustement micrométrique que la photo requiert en optique notamment, etc. en matière de bidouillage, les deux univers n'ont rien à voir. De plus, quand un PC fait mille et une choses, un appareil photo n'en fait a priori qu'une, à savoir capturer des images fixes ou animées. Fort logiquement, la majorité des articles et tutoriels se concentrent sur la production de ces cela vient se greffer un autre élément si le monde des ordinateurs projette une image très technique, à la limite du scientifique, la production d'images revêt, elle, une aura bien plus artistique. Si cette perception n'est qu'un cliché mal dégrossi – le monde de la photo est bien évidemment technique –, la réalité est qu’un grand nombre de photographes célèbres ne sont effectivement pas de grands les premières décennies de la photographie furent pourtant un magnifique terrain de jeu pour tout un tas d'inventeurs et autres bricoleurs. Un âge d'or ? Pas du tout. En fait, le choix n'a jamais été aussi large. De la simple expérience scientifique de tous les jours camera obscura, en passant par l'assemblage jusqu'à la vraie création en partant de zéro, les opportunités de construire son propre appareil photo n'ont jamais été aussi ce double dossier, nous allons jeter un coup d'œil panoramique sur les différentes options disponibles pour construire son appareil photo personnel. Et nous commençons aujourd'hui par la technologie primordiale de cet art l' la découverte des défauts disparusVous ne construirez a priori jamais un appareil photo argentique qui soit techniquement aussi bon que ceux produits par des sociétés qui ont eu des décennies pour s'améliorer par le biais de milliers d'ingénieurs et de machines industrielles à leur service. On ne se lance pas dans la conception d'un appareil photo pour obtenir les plus fidèles images de la création. Bien au contraire, outre les plaisirs de la découverte, de la science et du bricolage, la construction d'un appareil “maison” est surtout l’occasion de produire un boîtier qui produira des images différentes, uniques. Des photos impossibles à capturer avec des appareils de série. D’un côté, l'industrie et les clients cherchent l'homogénéité et une qualité constante ; de l'autre, ouvrir la porte au bricolage, c’est accepter, voire rechercher les défauts qui feront le charme des images diffraction exagérée, déformations optiques fortes, poussières, etc. Des images paradoxalement presque impossibles à reproduire avec nos appareils photo numériques actuels, devenus quasiment “parfaits”. La camera obscuraLe premier appareil photo que vous pouvez concevoir ne requiert rien d'autre que du carton et du ruban adhésif. Il s'agit de la camera obscura, la chambre noire originelle. Les prérequis sont minimaux une pièce aux murs blancs dont les fenêtres sont toutes complètement calfeutrées d'où les cartons et le ruban adhésif. Une fois la chambre totalement imperméable aux rayons lumineux, il suffit de percer un simple trou au milieu de la fenêtre, de bien fermer la porte et de vous asseoir dans le noir. Au bout de quelques minutes, la meilleure pellicule du monde – vos yeux aidés de votre cerveau – vous permettra de profiter de la magie et de voir le monde s'afficher sur vos murs… à l'envers ! Exemple du fonctionnement d'une camera limite de l'expérience, c'est bien évidemment que si la chambre noire produit une image du réel, il n'y a aucun dispositif pour la fixer, l'enregistrer. Ceci étant, cette expérience a pour vertu de nous enseigner un principe fondamental de la photographie les rayons lumineux qui arrivent dans une optique, fut-elle un simple trou dans un carton, produisent une image inversée. C'est valable dans un appareil photo, argentique ou numérique, et même pour notre œil. L'image qui se forme au fond de la rétine est inversée ; c'est notre processeur d'image intégré le cerveau qui la retourne pour nous. Voilà qui est bien aimable de sa boîte devient sténopéL'étape qui suit logiquement l'expérience de la chambre noire est la production d'un appareil photo dit sténopé. Étape logique, car le sténopé en reprend exactement le principe, soit une toute petite chambre noire percée d'un trou qui fait office d'optique. Si les murs blancs étaient nécessaires dans le cas de l’expérience précédente avec la vraie chambre, il en va autrement dans le cas du sténopé. Ce dernier va en effet recevoir un support d'enregistrement – pellicule ou plan film selon les dispositifs – et il faut absolument éviter les réflexions parasites en peignant l'intérieur de la boîte en noir. Les guides de fabrication sont légion sur le net, mais nous apprécions tout particulièrement celui de qui, comme son nom anglais l'indique, permet de concevoir un sténopé à partir d'une simple boîte d'allumettes. Outre la littérature web, il existe quantité de livres et autres articles de publications papier qui permettent de créer ses propres boîtes à images, allant de la pellicule 135 jusqu'aux plans films 4x5 pouces. La souplesse du sténopé permet de capturer, outre des ratios classiques, des images au format panoramique en concevant les boîtiers aux dimensions adéquates. Et comme nous sommes en 2018, outre le bricolage de boîtes d’allumettes, le web est replet de différents tutoriels et guides pour transformer toute “boîte” à vin, chaussures, etc. en un sténopé, avec un éventail de tailles qui vous permet de jouer non seulement avec la classique pellicule 135 24x36, mais aussi avec des films moins utilisés, comme le 120 moyen format ou les plans le bricolage n'est pas votre fort ou que les ciseaux et autres marteaux vous détestent, il existe de nombreux kits à monter soi-même, de la boîte en carton à 30 € jusqu'à des modèles luxueux tels ceux d’Ilford – judicieusement appelés Obscura – et d'Ondu qui a conçu de beaux modèles en bois allant de 120 à 200 €. Certes, c'est un budget conséquent pour un sténopé, même si à ce dernier prix nous avons droit à un beau boîtier en bois qui shoote des photos panoramiques 6x9 sur pellicule moyen format 120. Plus modeste, le P-Sharan STD 35 est un appareil en carton au look sympathique qui ne coûte que 30 €. Pour les plus fortunés ou les plus fous, Kurt Mottweiler produit son un sténopé de luxe à 1 095 $. C’est beau, mais c’est cher… Les bonnes adresses des sténopés→ Ilford Obscura → Ondu → P-Sharan STD 35 → Mottweiler sténopé est un appareil bien sympathique, mais ses limites sont nombreuses exposition au jugé 100 % manuelle, obturation à la bonne franquette, qualité d'image médiocre, lenteur du processus, etc. L'étape qui vient en tête après avoir joué avec ces boîtes noires est bien sûr de concevoir un véritable appareil en plastique & en carton pré-conçusAvant d’utiliser une scie et des clous, on peut tout à fait monter un appareil photo complet sans trop se salir les doigts, en achetant un modèle à monter. À la manière des maquettes en plastique, il existe plusieurs modèles d’appareils composés de pièces de plastique à détacher de leur support de même matériau. Et quand on dit complet, on pense bien évidemment aussi à l’optique, généralement sous la forme de lentilles assez simples, en plastique elles aussi. Le plus célèbre sous nos latitudes occidentales est le Konstructor de l’entreprise autrichienne Lomography, un reflex assez complexe, mais il existe d’autres références sur le net comme le Last Camera de SuperHeadz, un petit compact assez bien fini, ou un modèle distribué par Pearl sous sa marque photo Somikon, qui ressemble à un petit Rolleiflex. Ce modèle ressemble comme deux gouttes d’eau à un autre appelé Gakkenflex, que l’on peut trouver sur ces petits appareils sont un peu de la triche, ils ont le double mérite d’être accessibles à tous et de mettre en lumière les mécanismes de base des vrais appareils photo système de chargement de pellicule, déclencheur, obturateur, optique, etc. Certains disposent même d’optiques composées de plusieurs lentilles de plastique. Quel luxe ! Les bonnes adresses “plastique & carton”→ SuperHeadz LAST CAMERA détails ici → Lomography Konstruktor → Somikon plastic → Gakkenflex clonesVous êtes un puriste ? Vous ne voulez pas de ces jouets, mais construire un “vrai” appareil photo avec une belle qualité d’image ? Vous souhaitez vraiment “mouiller le maillot” et mériter vos clichés ? Un retour à l’époque des films grands formats et des chambres photographiques s’ photographiqueOn ne s’en rend pas vraiment compte en ce début de XXIe siècle où un simple téléphone produit des images suffisamment bonnes pour faire la une de Time Magazine, mais l’arrivée du Leica dans les années 1930 fut un véritable séisme dans le milieu de la photo. Sa grande compacité couplée à celle de sa pellicule, le 135, le rendait incommensurablement plus compact que les chambres dinosaures de la photographie, utilisant de grands plans films, produisaient – et produisent toujours – des images d’une qualité impressionnante, mais ils sont très lourds et encombrants. Si ces défauts ne vous font pas peur et que vous voulez retrouver l’esprit des pionniers de la photo “à la Edward Sheriff Curtis” ou des légendes modernes comme Raymond Depardon, vous pouvez tout à fait construire votre propre chambre photographique. Le matériau principal employé est le bois et vous devrez être équipé en conséquence scie, marteau, colle, clous, etc., voire des pièces de métal pour les modèles les plus optiques pour chambre se dégotent assez facilement sur eBay et ne sont généralement pas trop chères, car peu complexes à produire par rapport aux zooms modernes à stabilisation optique et AF Ultrasonic ! Si vous avez la chance de jeter un œil sur un négatif 20x25 un jour, vous réaliserez que si le monde du numérique a bien progressé, le niveau de précision d’image des optiques et la taille impressionnante des négatifs permettent de produire des images d’un autre monde. Des tutos en bois... massif !→ Tuto n°1 → Tuto n°2 → Tuto n°3Vous n’avez pas envie de mettre de la sciure entre les touches de votre clavier ou recherchez une démarche plus moderne ? Reçu 5/5. Passons alors aux fils de plastique fondu…Impression 3DPleine de promesses, l’impression 3D classique dite FDM Fused Deposition Modeling, modelage par dépôt fondu est connue des photographes, surtout pour la reproduction d’accessoires de type cache-griffe/flash ou supports pour flashs déportés. Côté appareil photo, l’offre est fort logiquement moins généreuse, voire carrément étroite il ne s’agit pas de dessiner une pièce, mais bien de concevoir le fonctionnement et l’agencement mécanique de plusieurs pièces très différentes. Une tâche qui exige un travail modèles les plus faciles à concevoir sont très logiquement les sténopés. S’ils n’apportent rien aux modèles faits de bric et de broc, ils vous permettront toutefois de vous familiariser avec l’impression 3D et ses aux “vrais” appareils photo, nous en avons trouvé deux. Le premier est l’Open Reflex du Français Leo Marius, un boîtier open source qui avait fait le tour du web en 2013, genre de vaisseau spatial qui peut recevoir des optiques Nikon et qui fonctionne uniquement au 1/60 s. Plus poussé dans la conception, le SLO est un compact à focale fixe dont tous les éléments même l’optique sont imprimés en plastique. Les difficultés de la conception du SLO commencent dès l’impression qui requiert une imprimante à bain de photopolymère liquide SLA bien plus coûteuse et complexe que les imprimantes FDM sus-citées. Si le cœur vous en dit, toutes les étapes sont décrites sur le site de son créateur Amos les fondus de plastique→ Pinhole 120 → Open reflex → SLO Publications qui peuvent vous intéresser Accueil Forums Le poulailler Les photos des fermiers Quelle appareil photo pour débuter ? , page 2 sandrinah Saisonnier1 pointInscrit le 25 février 2016Messages 1Navigateur ligne Posté le 25 février 2016 à 0829 vilain a écrit je déconseille presque systématiquement les reflex qui n ont pour l utilisateur comparateur assurance chat lambda que des désavantages et encore plus les hybrides qui cumul les problèmes des deux mondes ! Comme tout le monde il faut bien débuter avec un appareil photo simple genre compact. C'est après qu'on acquiert la passion de la photographie et passage au bridge puis au reflex! vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne dontlino Ouvrier agricole375ptsInscrit le 16 novembre 2013Messages 286Navigateur ligne Posté le 13 mars 2016 à 2045 Ne prend pas d'hybride c'est juste lourd et niveau qualité optique les formules sont merdiques c'est mon boulot. Je conseille un bon compact que tu auras toujours dans la poche ce qui te permettra de capturer des instants de quotidien ou un truc que tu remarque. Après si tu as un plus gros budget un reflex avec un bon 50mm bien ouvert, en mode manuel tu peux faire des choses superbes. Après tu investis dans d'autres objectif qui te permettront de ressembler à une mule mais tu pourras obtenir des photos telle que tu te les imagines les possibilités focale et ouverture sont pas limités. Le reflex permet du post traitement avec DxO qui corrigera les défauts optiques mais les bons photographes l'utilisent pas. Perso je préfère un bon vieux reflex argentique ils sont pas chères les objectifs non plus, le fait d'avoir 24 ou 36 poses d'oblige à réfléchir à tes cadrages et tes réglages. le défaut pour développer tes photos il faut le matériel mais tout club photo digne de ce nom en a. Car en numérique tu vas rester en auto et mitrailler pour ensuite trier et tu auras jamais "La photo" car le réglage automatique est optimum mais jamais selon tes critères et comme tu mitrailles tu as pas la patience d'attendre le moment de chercher un angle,etc... Après pour un modèle précis tout dépend du style de photo que tu veux faire, ton budget et des concessions que tu veux faire. vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne Posté le 14 mars 2016 à 0924 les pros utilisent pas dxo et d autres logiciel de développement ... LOL il n'existe plus de labo photo en france ... LOL débuter avec un 50mm donc sur un full frame et en manuel ... LOL faut etre serieux quand même ! tous les pros utilisent des logiciels de developpement ! tous ! ne fusse parce que le raw ne s exploite pas autrement !!! si tu fais de l'argentique, il existe encore des centres pour developper ton film dans des labo photo, il suffit de chercher un 50mm et un reflex en manuel c est le top de la contrainte , ideal pour dégoûter un débutant ... je ne dit pas que ce n est pas bon , juste qu il faut deja savoir faire de la photo pour ce mettre de tel contrainte ! et je ne parle pas du budget boitier ! Boulzy Agriculteur2060ptsInscrit le 10 mars 2014Age 34Messages 1391Localisation La buisseNavigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 0934 vilain a écrit voici le modèle que je conseille le plus actuellement et pour l'avoir testé à de nombreuse reprise , il est juste extra avec un tarif parfait ! +1, c'est celui que madame qui fait de la photo s'est pris pour éviter d'avoir à transporter tout le matos. Et moi en tant que débutant je m'en sort pas mal avec ce modèle que je trouve facile d'utilisation et de bonne qualité. dontlino Ouvrier agricole375ptsInscrit le 16 novembre 2013Messages 286Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1210 vilain Pour DxO je parlais pour corriger les aberrations des optiques car sinon ils dépenseraient pas des milliers d'euros en objectif mais bien sur un coup de Toshop voir une légère correction ça arrive mais ils évitent l'utilisation généralisé. Pour les Labos photo ils sont passé où Agfa, Fujifilm, Kodak ba ils développent quasiment plus et niveau prix accroche toi. Et pour les petits site ils ont un agrandisseur et il te le font à la main donc ça coute encore plus chère sauf que tu as zéro idée du résultat car les films rayé chez eux c'est commun ou la photo oublié. Et débuter avec un 50mm c'est pas synonyme de FullFrame 24x36mm c'est une focale d'objectif fournie par défaut avec tout les appareils car justement c'est reconnu pour être le compromis pour faire un peut de tout. Le 50mm manuel le top de la contrainte, ba un seul objectif c'est un avantage pour le transport. Dégouter un débutant, hum Robert Doisneau ou Robert Capa utilisaient un 50mm pour sa simplicité et ça capacité à pouvoir tout saisir. Après pour ce qui est du budget soir un compact "expert" à 300€ ou un reflex numérique d'occasion et l'argentique présente l'avantage de pouvoir se faire pour 300€ un set de matos car beaucoup le vendent pour une bouchée de pain alors que les objectifs se montent sur les reflex numériques mais les vendeurs peu scrupuleux affirment le contraire. Exemple à la foire à la Photo de Bièvres pour 100€ l'année dernière je me suis payé un super objectif Th 19-70mm Tamron et sont boitier Pentax Mz-50. vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne Posté le 14 mars 2016 à 1245 dontlino a écrit vilain Pour DxO je parlais pour corriger les aberrations des optiques car sinon ils dépenseraient pas des milliers d'euros en objectif mais bien sur un coup de Toshop voir une légère correction ça arrive mais ils évitent l'utilisation généralisé. Pour les Labos photo ils sont passé où Agfa, Fujifilm, Kodak ba ils développent quasiment plus et niveau prix accroche toi. Et pour les petits site ils ont un agrandisseur et il te le font à la main donc ça coute encore plus chère sauf que tu as zéro idée du résultat car les films rayé chez eux c'est commun ou la photo oublié. Et débuter avec un 50mm c'est pas synonyme de FullFrame 24x36mm c'est une focale d'objectif fournie par défaut avec tout les appareils car justement c'est reconnu pour être le compromis pour faire un peut de tout. Le 50mm manuel le top de la contrainte, ba un seul objectif c'est un avantage pour le transport. Dégouter un débutant, hum Robert Doisneau ou Robert Capa utilisaient un 50mm pour sa simplicité et ça capacité à pouvoir tout saisir. Après pour ce qui est du budget soir un compact "expert" à 300€ ou un reflex numérique d'occasion et l'argentique présente l'avantage de pouvoir se faire pour 300€ un set de matos car beaucoup le vendent pour une bouchée de pain alors que les objectifs se montent sur les reflex numériques mais les vendeurs peu scrupuleux affirment le contraire. Exemple à la foire à la Photo de Bièvres pour 100€ l'année dernière je me suis payé un super objectif Th 19-70mm Tamron et sont boitier Pentax Mz-50. outch , j ai un peu mal a la retine la ! tu y vas fort quand même !!! bon , je reprends 1 Même un objectif a 2000€ n est pas parfait et donc le besoin de correction est indispensable, chaque fichier ce doit donc d etre développé via un ou plusieurs logiciel pour etre optimisé 2 les labo existent encore ! il suffit de chercher un peu et les tarifs sont tres correcte chez ces professionnels ! il en existe encore 2 dans ma petite ville et 4 dans un rayon de 30km. certes ce n est plus la foule de jadis mais ils existent encore , a toi de les trouver pour ne plus dire de bêtise ... 3 un 50mm sur un capteur aps-c bin ce n est plus un 50mm ! c est plus un 75mm est donc plus du tous la meme utilisation !!! les focales fournis par défaut sont des 18/55mm équivalent bas de gamme des standart 24/70mm sur les 24x36 fullframe donc sur un petit capteur il faut prendre un 35mm. 4 je ne pense pas que nous soyons tous des Robert Doisneau ou Robert Capa elle ma bien fait rire au moins celle la 5 un débutant a besoin d une large plage focale cars il ne sais pas vraiment ce qu il veut faire et veut tous faire ! un débutant ne veut que rarement ce promener avec un sac enorme et lourd . un débutant devrait prendre un bridge pour debuter et ne pas balancer son argent dans des vieux cailloux tous juste bon pour faire des presses papiers ... dontlino Ouvrier agricole375ptsInscrit le 16 novembre 2013Messages 286Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1325 A 2000€ tu as intérêt à acheter des objectifs dont la psf est inférieurs à la taille du pixel sur le capteur surtout en focal fixe car sinon c'est que c'est un abruti qui fabrique. Enfin vilain je suis dispo en MP pour continuer car on risque de sortir du sujet du Topic. vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne Posté le 14 mars 2016 à 1330 non , je te parle de zoom a 2000 et plus, pas de fixe , sur les zoom , il faut corriger les déformations et aberrations, sur les fixes c est plus souvent un leger vignetage . _PWR_Bruce Métayer4388ptsInscrit le 02 mars 2015Messages 3079Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1353 Moi j'ai un bridge est je trouve que c'est le meilleur des compromis Donc +1 pour le bridge dontlino Ouvrier agricole375ptsInscrit le 16 novembre 2013Messages 286Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1406 Les zooms un vaste sujet mais le résumé c'est que plus la plage est grande plus on aura une image mauvaise. C'est un reproche aux bridges avec leur 17-600mm soit disant f/ constant. Quand on fait le calcul c'est physiquement impossible mais les commerciaux on aucun souci avec la physique. vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne Posté le 14 mars 2016 à 1409 je suis d accord avec toi ! par contre pour debuter et loin des considération optique trop pointus c est quand meme le meilleur compromis si le debutant veut pousser plus loin et a épuisée le bridge il sera alors temps de voir pour de la focale fixe et un sac énorme plein d optiques p dontlino Ouvrier agricole375ptsInscrit le 16 novembre 2013Messages 286Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1433 Il y a des compacts pas mal qui prennent encore moins de place et qui valent des bridges. Après j'ai arrêté de suivre les références donc pour en conseiller une mais fuji faisait des choses pas mal. vilain Métayer4007ptsInscrit le 14 novembre 2012Messages 1870Navigateur Hors ligne Posté le 14 mars 2016 à 1439 quand je conseille un bridge c est rapport a la taille du capteur souvent supérieur a un compact , a la présence d un viseur et d une prise en main bien meilleur stoof Agriculteur1559ptsInscrit le 30 décembre 2011Messages 417Navigateur ligne Posté le 14 mars 2016 à 1441 +1 La gamme Fuji X* est superbe en compact expert. Perso, j'ai le Fuji X10 et ils en sont au X30. Optique très haute qualité Fujinon stabilisée qui ouvre à donc bien lumineux. Viseur plutôt correct pour un compact, bague de zoom comme sur objo reflex assez rare pour le faire remarquer donc plus de précision, de rapidité et plus d'autonomie batterie du coup. Le capteur 24x36 EXR fait des merveilles Après faut se contenter d'un range 28 -112 mm quoi .. Accueil Forums Le poulailler Les photos des fermiers Quelle appareil photo pour débuter ? , page 2 Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum Sujets similaires Sujet Auteur Forum Réponses Posté le Demande aide pour nouvelle config' Gengar L'atelier 11 11 août 2022 à 1337 Config ok pour dual screen 4k? Naldael Divers Hardware 7 08 août 2022 à 1107 Quelle application de sauvegarde avec Windows 11 ? Marlene01 OsLand 7 07 août 2022 à 1020 Voici toutes les solution Appareil optique qui fait le tour des choses ». CodyCross est un jeu addictif développé par Fanatee. Êtes-vous à la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planète Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les réponses pour ce jeu ci-dessous. La dernière fonctionnalité de Codycross est que vous pouvez réellement synchroniser votre jeu et y jouer à partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont données par les développeurs. Cette page contient des réponses à un puzzle Appareil optique qui fait le tour des choses ». Appareil optique qui fait le tour des choses » La solution à ce niveau périscope Revenir à la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues Le nombre de tou­ristes voya­geant avec un reflex ou un hybride étant aujourd’­hui éle­vé, il est peu pro­bable que vous ren­con­triez le moindre pro­blème en pre­nant l’a­vion avec votre maté­riel pho­to. Néan­moins, voi­ci quelques conseils afin de par­tir plus sereinement. Je ne sais pas pour vous, mais à chaque fois que je me retrouve dans la file d’at­tente de l’aé­ro­port, à attendre qu’on ins­pecte mes affaires, je stresse un peu. Je repasse dans ma tête tout ce qu’il y a dans mon sac, véri­fiant, même si c’est trop tard, ce que j’au­rais pu y oublier. Ma gourde est vide, ok. Mon Opi­nel est dans la valise qui va en soute, ok. Vive­ment l’embarquement ! Per­sonne n’a envie de devoir choi­sir entre embar­quer ou se voir confis­quer son maté­riel. Voi­ci donc quelques conseils pour voya­ger avec votre maté­riel pho­to mais ras­su­rez-vous, il est peu pro­bable que vous ayez un soucis ! Matériel photo en soute ou en cabine ? Avant de par­tir, veillez à bien pré­pa­rer votre sac pho­to. Per­son­nel­le­ment, je com­mence par le vider inté­gra­le­ment afin de véri­fier qu’il ne reste aucun oubli d’un pré­cé­dent voyage dans les petites poches. Ensuite, je pose à côté le maté­riel que j’ai envie ou besoin de prendre pour ce voyage. Et enfin, j’es­saie d’op­ti­mi­ser le sac pour que tout soit bien ran­gé et protégé. Lorsque vous pré­pa­rez votre sac pho­to, pen­sez à ne pas le sur­char­ger, et gar­dez en tête qu’il vous fau­dra cer­tai­ne­ment l’ou­vrir et le vider pour pas­ser la sécu­ri­té. N’hé­si­tez pas, éga­le­ment, à vous ren­sei­gner sur la com­pa­gnie aérienne que vous allez emprun­ter toutes ont des règles dif­fé­rentes quant à la taille du bagage cabine. Sur un vol low-cost, par exemple, il vau­dra géné­ra­le­ment mieux évi­ter un sac trop gros. Si vous avez du mal à choi­sir quel maté­riel pho­to empor­ter selon votre type de voyage, vous trou­ve­rez quelques exemples sur cet article. L’appareil photo et les objectifs en cabine ! Il y a une règle d’or tout ce qui a de la valeur, et/ou est fra­gile, reste avec vous. C’est une évi­dence, mais j’en­tends régu­liè­re­ment des his­toires de pho­to­graphes ayant lais­sé leur beau 5D tout neuf en soute sans le retrou­ver à l’ar­ri­vée. Quand bien même il n’y aurait aucun risque de vol, vous avez vu l’é­tat des valises sur le tapis ? Les petits chocs peuvent faire bou­ger les len­tilles à l’in­té­rieur des optiques, et rendre les objec­tifs inuti­li­sables, alors ima­gi­nez si on le lance par terre ou si on empile 5 valises de 23kg cha­cune dessus ! Donc, vrai­ment, ne met­tez rien de fra­gile et de valeur en soute, même si c’est bien pro­té­gé dans les vête­ments ! À com­men­cer par votre appa­reil pho­to, ses objec­tifs, et tous les acces­soires fra­giles. L’ap­pa­reil pho­to, qu’il s’a­gisse d’un gros reflex ou d’un petit com­pact, va en cabine, avec vous. Et les objec­tifs aussi. Les ordinateurs et tablettes De la même manière, l’or­di­na­teur ne va jamais en soute. Jamais. Sous aucun pré­texte. Même s’il est gros et lourd. Si vous y tenez, si vous tenez aux fichiers qui sont des­sus, pre­nez-le avec vous en cabine. S’il ne loge pas dans votre sac pho­to, et que vous n’a­vez pas de housse de trans­port pour votre ordi­na­teur, glis­sez-le dans un sac en tis­su tote bag il sera tou­jours mieux là que dans votre valise ou sac en soute. Et c’est pareil pour les tablettes ça ne va jamais en soute. Sauf si vous vou­lez vous en débarrasser... Sac photo et poids autorisé en cabine Le pro­blème, c’est le poids. Je pour­rais vous dire que per­sonne n’a jamais pesé mon bagage à main, mais nuan­çons en repre­nant mon pre­mier point per­sonne n’a ENCORE pesé mon bagage, et ça m’ar­ri­ve­ra peut-être la pro­chaine fois. Donc, ren­sei­gnez-vous auprès de la com­pa­gnie quant au poids et à la taille des sacs admis en cabine et n’a­bu­sez pas si vous vou­lez être sûrs de pou­voir gar­der votre maté­riel avec vous, évi­tez la grosse valise de 30kg ; pré­fé­rez le sac à dos nor­mal. Si vous êtes au-des­sus du poids, reti­rez ce qui peut l’être l’énorme Lone­ly Pla­net devrait sur­vivre en soute, par exemple. Si vous êtes accom­pa­gnés, pas­sez en pre­mier, vous pour­rez lais­ser un objec­tif à un ami en cas de pro­blème. Vous pou­vez éga­le­ment pas­ser votre appa­reil autour de votre cou, glis­ser des objec­tifs dans vos poches ! Sachez que la ques­tion du poids du sac pho­to se pose qua­si-exclu­si­ve­ment à l’en­re­gis­tre­ment. C’est le seul moment où le per­son­nel de la com­pa­gnie fait vrai­ment atten­tion au sac. Mon sac pho­to fait en géné­ral entre 10 et 15kg. Je n’ai eu un sou­cis qu’une seule fois, avec une com­pa­gnie qui assu­rait des liai­sons avec des tout petits avions entre des îles du paci­fique le poids auto­ri­sé par pas­sa­ger était de 3kg, soit le poids de mon appa­reil avec un objec­tif. J’ai dû payer un sup­plé­ment hors de prix pour gar­der mon maté­riel avec moi. J’a­vais fait l’er­reur de ne pas me ren­sei­gner sur la com­pa­gnie au préalable. La question des batteries Les bat­te­ries sont sup­po­sées voya­ger char­gées et pla­cées dans l’ap­pa­reil ou dans des étuis de sécu­ri­té. Elles sont stric­te­ment inter­dites en soute en rai­son de leur carac­tère hau­te­ment inflammable. Jamais per­sonne ne vous dira rien pour des bat­te­ries de reflex. Par contre, trans­por­ter des bat­te­ries de drone peut s’a­vé­rer plus elles sont beau­coup plus grosses. Afin de ne pas avoir de sou­cis, je vous conseille vive­ment d’in­ves­tir dans un petit étui conçu à cet effet sac Lipo pour bat­te­rie de DJI Mavic, par exemple, ou l’équi­valent pour des bat­te­ries du DJI spark. Peut-on prendre un trépied en cabine ? Le tré­pied, il va en soute. Si vous cher­chez sur le net ou deman­dez autour de vous, vous trou­ve­rez des tas de gens qui ont fait ci ou ça et n’ont pas eu de pro­blème. C’est for­mi­dable, mais ça ne veut pas dire que vous n’en aurez pas quand ce sera votre tour. À titre d’exemple, la douane indienne a tenu à vider inté­gra­le­ment mon sac et à tout fouiller pen­dant qu’un ami pas­sait tran­quille­ment à côté avec une seringue dans le sien, sans qu’on ne lui en demande l’ordonnance. Selon les des­ti­na­tions, les com­pa­gnies, et gens que vous aurez en face de vous, ça peut varier énor­mé­ment. Ne pre­nez pas de risque, la copine du cou­sin de la voi­sine est peut-être pas­sée avec son tré­pied, mais ça ne vous garan­tit pas qu’il en sera de même pour vous. Qu’est-ce qu’on ne doit surtout pas prendre en cabine ? Cer­tains objets sont inter­dits en cabine. Vous êtes déjà au cou­rant pour les cou­teaux, ciseaux et dan­ge­reuses bou­teilles d’eau, mais quid des acces­soires photo ? Si vous empor­tez des pro­duits liquides pour net­toyer vos optiques, veillez à res­pec­ter la règle des 100ml maxi­mum. Évi­tez éga­le­ment de mettre dans votre sac cabine des bombes d’air sous pres­sion ; net­toyer votre ordi­na­teur pour­ra attendre quelques heures. Enfin, comme pré­ci­sé plus haut, ran­gez votre tré­pied dans votre bagage en soute, sous peine de vous le faire confisquer. Le drone, on le met où ? Le drone, il reste dans le bagage cabine, à moins d’a­voir une valise de trans­port rigide spé­cia­li­sée. Quant à ses bat­te­ries, elles sont tout sim­ple­ment inter­dites en soute vous avez obli­ga­tion de les prendre en cabine avec vous, pour des rai­sons de sécu­ri­té les bat­te­ries au lithium peuvent prendre feu faci­le­ment. Si vous avez des bat­te­ries de rechange, veillez à les pla­cer dans des étuis de sécurité. Comment réagir si on vous dit que votre sac photo est trop lourd pour aller en cabine ? Si on vous dit que vous ne pou­vez pas prendre votre sac, qu’il est trop gros, que faire ? Res­tez cor­dial et pré­sen­tez ce qu’il contient à votre inter­lo­cu­teur. Il y a de fortes chances que la com­pa­gnie ne prenne pas le risque de mettre du maté­riel coû­teux en soute, ils n’ont pas envie d’en prendre la res­pon­sa­bi­li­té ! Dans tous les cas, res­tez poli et sou­riant, ça se pas­se­ra mieux qu’en s’énervant. Si vrai­ment ça ne suf­fit pas, hé bien sor­tez ce que vous pou­vez du sac pour le gar­der avec vous appa­reil autour du cou, objec­tif le plus lourd vis­sé des­sus. Là encore, si vous êtes accom­pa­gné, deman­dez à pla­cer un objec­tif dans le sac d’un de vos amis. Les sacs lourds dépas­sant le poids auto­ri­sé par la com­pa­gnie pour un bagage cabine doivent être pla­cés sous le siège devant vous et non dans les com­par­ti­ments. Per­son­nel­le­ment, mes sacs pho­tos ne logent pas tous sous le siège l’un d’eux n’est pas si grand mais est bom­bé », et j’ai donc tou­jours igno­ré cette règle. Mais si on vous dit que votre sac est trop lourd pour aller en cabine, n’hé­si­tez pas à vous enga­ger à ne pas pla­cer votre sac dans le com­par­ti­ment supérieur. Passer la sécurité de l’aéroport avec du matériel photo Pour le pas­sage de la sécu­ri­té, ça sera dif­fé­rent à chaque fois. Lisez les ins­truc­tions on peut vous deman­der d’ou­vrir le sac, de le vider, etc., ne ten­tez pas l’hu­mour, et n’ayez pas peur pour vos cartes mémoires, elles ne risquent rien. Les rayons X des machines ne peuvent pas endom­ma­ger votre maté­riel. La seules excep­tion reste les pel­li­cules. Vous pou­vez deman­der à ce que leur véri­fi­ca­tion soit faite à la main, par un agent. Passer la douane avec son matériel photo Le but de la douane, c’est de véri­fier que vous avez bien payé les taxes sur votre maté­riel je pars du prin­cipe qu’au­cun de vous n’ex­porte de drogue, donc on va se concen­trer sur la photo. Afin de prou­ver que c’est bien votre maté­riel ache­té en UE, il y a plu­sieurs solu­tions ; cer­taines plus effi­caces que d’autres... Voyager avec ses factures de matériel photo ? Vous pour­riez envi­sa­ger de prendre vos fac­tures avec votre appa­reil, afin de prou­ver à la douane où vous avez ache­té votre maté­riel. Je le lis de temps en temps, et c’est une grosse âne­rie. On ne trans­porte jamais ses fac­tures avec son maté­riel. Si vous vous faîtes voler, vous offrez la preuve d’a­chat en prime, et vous galé­rez pour vous faire rem­bour­ser par votre assu­rance. Les fac­tures, elles res­tent chez vous, au chaud et au sec, mais sur­tout pas dans votre sac. Une seconde option serait de faire des pho­to­co­pies des fac­tures, ou une copie sur le smart­phone. C’est tou­jours mieux que de prendre les ori­gi­nales, mais ce n’est pas tou­jours très pratique. La carte de libre circulation La meilleure solu­tion, est la carte de libre cir­cu­la­tion. On en parle beau­coup moins et pour­tant c’est à la fois beau­coup plus pra­tique et beau­coup plus offi­ciel c’est éta­bli par la douane, avec le cachet de la douane, et recon­nu à l’international, bien sûr. En gros, vous avez un car­ton qui res­semble à ça j’ai effa­cé le nom de l’agent et sa signa­ture, et j’ai démé­na­gé depuis, héhé Ce sera le pas­se­port de votre maté­riel ça peut ser­vir aus­si à autre chose que des appa­reils pho­to, mais res­tons sur le sujet qui nous concerne. La carte de libre cir­cu­la­tion est nomi­na­tive, gra­tuite, et pré­sente les numé­ros de série de cha­cun de vos objec­tifs ou boî­tiers. Ain­si, en un coup d’œil la douane sau­ra qu’elle peut vous lais­ser pas­ser l’ef­fet tam­pon officiel. Il n’y a que 4 cases, et c’est en théo­rie un appareil/objectif par case. L’employé du bureau des douanes risque donc de vous conseiller de vous limi­ter au maté­riel cher, ou de pla­cer plu­sieurs objec­tifs par case, même la rigueur vou­drait plu­tôt qu’il éta­blisse une seconde carte de libre cir­cu­la­tion, voire une troisième. Com­ment l’ob­te­nir ? C’est simple Réunir le maté­riel et les fac­tures. Pas la peine de faire ins­crire le moindre acces­soire sur la carte non plus. Concen­trez-vous sur ce qui a de la valeur objec­tifs, boî­tiers, éven­tuel­le­ment tré­pied. Pour le maté­riel ache­té hors Union Euro­péenne, il vous faut prou­ver que vous avez payer la TVA dessus. Repé­rer où se trouvent les numé­ros de série, ça faci­li­te­ra le bou­lot du douanier. On met tout ça dans le sac nou­vel­le­ment acheté. On se rend à un bureau des douanes. On tombe en géné­ral sur quel­qu’un de gen­til et c’est très rapide. Résul­tat, on perd une fois 30 minutes mais on a une carte valable 10 ans et renou­ve­lable qui faci­li­te­ra les choses. Et si vous avez acheté du matériel à l’étranger ? Si votre maté­riel pro­vient d’une zone hors UE, que vous l’aillez ache­té sur inter­net ou vous même en Asie ou aux Etats-Unis à lire ache­ter du maté­riel pho­to en voyage, vous êtes sup­po­sés vous acquit­ter des taxes. Je ne vais pas vous conseiller de le faire ou non, à vous de voir ! Madame Oreille Je suis photographe et j'ai la chance de voyager partout dans le monde. Sur ce blog, vous trouverez à la fois des récits de voyages seule ou avec Petite Oreille, ma fille, que j'essaie d'emmener partout depuis qu'elle est bébé ! et des conseils pour réussir vos propres photos de voyage.

appareil optique qui fait le tour des choses